Voilà, j'ai terminé ma rentrée littéraire. Pour cette rentrée 2013, je me suis laissé tenter par Mobiles de Sandra Lucbert. Pourquoi ? Parce que Neon en parlait dans l'un de ses numéros de cet été et puis le pitch m'a donné envie :
Avouez, si vous êtes en train de terminer votre licence, votre master ou que vous venez d'entrer dans la vie active, ces quelques lignes font envie. C'est donc avec entrain que j'ai commencé à lire la première page. Mais je suis rapidement tombé des nues. Dès les première pages c'était imbuvable, pour la simple et bonne raison que pour son premier roman, Sandra Lucbert a tenté d'impressionner le lecteur avec des mots savants. Un de temps en temps ne pose pas de problème mais quand il y en a un par phrase ça devient rapidement désagréable à lire. Le pire, c'est qu'elle sait faire sans car à plusieurs reprises, elle écrit avec un style plus fluide et c'est de facto plus agréable.
En ce qui concerne l'histoire, il n'y en a pas vraiment. Elle a décidé de parler d'une tranche de vie de plusieurs personnes, il n'y a pas de début, il n'y a pas de fin. C'est un peu comme si on racontait un voyage et qu'on ne parlait que du milieu. D'ailleurs, c'est assez frustrant qu'il n'y ait pas de fin. En bref, ce livre m'a laissé sur ma faim.
-''Tu crois que je suis en train de rater ma vie ?'' C'est ce que se demdent Méta, Raphaël, Pauline et les autres. Ils ont 25 ou 30 ans. Ils entrent dans la vie active. Mais leur parcours ou leur formation leur ont imposé des exigences dont, ils le découvrent, la société n'a que faire. Ils ne savent ni comment s'adapter ni comment se révolter. Tout leur est ouvert, et pourtant tout leur est fermé.-
Avouez, si vous êtes en train de terminer votre licence, votre master ou que vous venez d'entrer dans la vie active, ces quelques lignes font envie. C'est donc avec entrain que j'ai commencé à lire la première page. Mais je suis rapidement tombé des nues. Dès les première pages c'était imbuvable, pour la simple et bonne raison que pour son premier roman, Sandra Lucbert a tenté d'impressionner le lecteur avec des mots savants. Un de temps en temps ne pose pas de problème mais quand il y en a un par phrase ça devient rapidement désagréable à lire. Le pire, c'est qu'elle sait faire sans car à plusieurs reprises, elle écrit avec un style plus fluide et c'est de facto plus agréable.
En ce qui concerne l'histoire, il n'y en a pas vraiment. Elle a décidé de parler d'une tranche de vie de plusieurs personnes, il n'y a pas de début, il n'y a pas de fin. C'est un peu comme si on racontait un voyage et qu'on ne parlait que du milieu. D'ailleurs, c'est assez frustrant qu'il n'y ait pas de fin. En bref, ce livre m'a laissé sur ma faim.
