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mardi 13 février 2018

8 conseils pour faire du vélo à Paris

Je fais du vélo à Paris tous les jours pour aller au travail et aussi en tant que loisir, comme j'en ai déjà parlé à plusieurs reprises sur mon blogue. C'est mon moyen de transport préféré. Le vélo est pour moi un synonyme de liberté et c'est un truc très important pour moi.



J'aimerais bien qu'il y ait plus de vélos à Paris mais c'est pas le cas. Pour l'instant. Selon une étude, il y a seulement 3 % des franciliens qui se déplacent à vélo. Ce n'est vraiment pas beaucoup. Je n'ai jamais vu d'étude à ce sujet mais la principale raison c'est peut-être la peur. C'est vrai que ça donne pas envie.

D'ailleurs, j'ai entendu trois personnes différentes, en peu de temps, évoquer leur crainte de faire du vélo à Paris, de peur d'avoir un accident. C'est pour ça que je prends le temps de faire cet article.

Lire ces conseils n'empêchera pas une portière de voiture de s'ouvrir et de vous faire voler ou une voiture de vous frôler mais vous aurez, je l'espère, toutes les cartes en main pour vous lancer.

1. Avoir un vélo en bon état
Ne prenez pas un vélo rétro mal en point pour le style. S'il grince, c'est pire, ça veut dire qu'il y a un problème quelque part qui peut vous péter à la gueule à tout moment. Procurez-vous un vélo en bon état qui fonctionne parfaitement. C'est pour ça que c'est mieux d'éviter les ventes sur Le Bon Coin, surtout quand on ne s'y connait pas. Vous pouvez penser faire une bonne affaire en prenant un vélo pas cher mais ça ne sera pas le cas. Avec toutes les réparations que vous allez devoir faire dessus, autant mettre un peu plus et avoir moins de problèmes par la suite. Croyez-moi, je suis passé par là.
Et si vous vous retrouvez avec un vélo chelou, n'hésitez pas à le faire réviser entièrement chez un réparateur de vélos. Si vous voulez pécho un vélo ou faire réparer votre vélo, je vous conseille La Chouette, un café-vélo situé place de la République.

Régulièrement, La Chouette propose des vélos retapés à la vente

2. Choisir un guidon
Le guidon est une partie très importante d'un vélo. C'est votre point de contrôle. C'est avec lui que vous vous dirigez. Il existe plusieurs sortes de guidons différents. Prenez un guidon avec lequel vous serez à l'aise. Le meilleur moyen de le savoir c'est d'essayer. Encore une fois, oubliez le style. Le confort de conduite fait partie des éléments qui vous permettront de ne pas vous tuer sur votre vélo. Combien de gens je vois remonter leur guidon de course pour être plus confortable ? C'est absurde ! Et je vous le dis parce que je l'ai fait aussi. Par ailleurs, je ne suis pas persuadé non-plus que le guidon moustache soit le plus adapté à la conduite à Paris. 

Un guidon moustache

Cela dit, la forme de votre guidon est surtout liée à vos préférences. Si votre priorité est d'avoir le dos droit, alors, prenez un guidon en conséquence. Sachez simplement, qu'à mon avis, la meilleure option qui s'offre à vous c'est le cintre droit. C'est celui qui vous donnera le plus de contrôle. 

Un vélo avec un cintre droit

3. Apprendre à changer une chambre à air 
Vous allez crever. C'est pas une prédiction, c'est un fait. Surtout à Paris. 

Vous avez deux options :

• faire appel systématiquement à un réparateur, que ce soit un magasin ou une entreprise de réparation ambulante. Sachez que ça vous coûtera de l'argent. J'ai fait ça pendant un moment et j'en ai eu marre d'être dépendant d'autres personnes. 

• apprendre à changer une chambre à air. Je suis la personne la moins manuelle du monde et j'ai réussi à apprendre. Vous trouverez tout ce qu'il faut savoir sur internet. Pour faire cela vous aurez besoin de démonte-pneus (c'est pas cher), d'une chambre à air et d'une pompe. 

Astuce 1 : si vos pneus sont pourris, vous avez plus de chances de crever. Pour avoir le moins possible à changer une chambre à air, pensez à investir dans des pneus anti-crevaison. Ça, ça coûte cher. Ceux que j'ai sont des Continental 4 saisons. Ça vous reviendra à 75 euros la paire. Je n'ai pas crevé depuis que je les ai. 
Astuce 2 : regonflez régulièrement vos pneus. 
Astuce 3 : ne prenez pas des trottoirs à fond et évitez les trous.

(Ça fait déjà beaucoup hein ? C'est vrai. Mais faire tout cela vous permettra de rouler sereinement. On continue !)

À la fin de Ménilmontant


4. S'équiper (HYPER IMPORTANT) 
Voici plusieurs éléments indispensables à acheter, j'ai bien écrit indispensable

• un casque (peu importe lequel, ils ont tous une norme de base de sécurité à respecter, les différences de prix sont liées au confort et à l'apparence)

• un cadenas U de bonne qualité, c'est ce qu'il y a de plus sûr. Ne soyez pas radin sur ce coup, c'est ce qui dissuadera les voleurs de prendre votre vélo et de préférer s'attaquer à celui d'à côté qui a une chaîne. Comptez 40 à 50 euros minimum pour un cadenas solide.  



• des lumières sont indispensables pour rouler la nuit. Elles ne vous serviront pas à voir mais à être vu par les autres. Pendant l'hiver, où la nuit tombe tôt, j'ai croisé beaucoup de gens sans lumière et sans éléments réfléchissants. Autant vous dire que si en plus ils sont habillés dans des couleurs sombres ils sont invisibles. C'est du putain de suicide. Ne faites pas ça.


Voilà, on en a terminé avec tout le matériel ! Maintenant on peut passer à la pratique.


5 • S'entraîner 
Vous pouvez vous lancer directement dans la circulation parisienne. Cependant, je vous conseille vivement de vous entraîner. Apprenez à maîtriser votre vélo, c'est très important. Ça vous sera extrêmement utile, une fois sur la route. Il y a quelques jours, j'ai vu une dame à vélo qui a failli se faire écrabouiller par un car parce qu'elle avait perdu le contrôle de son vélo.

Voici quelques techniques à maîtriser :

• rouler de façon détendue sans être crispé de partout

• apprendre à éviter des obstacles au dernier moment

• savoir rouler avec une seule main sur le guidon. Cela vous servira à indiquer vos changements de direction. Mais aussi à remercier et vous excuser.

• apprendre à s'arrêter en urgence

• apprendre à contrôler ce qui se passe derrière des deux côtés (gauche et droite). Je vois beaucoup de personnes faire semblant de se retourner pour vérifier que la voie est libre sans vraiment regarder. Résultat, ça crée du danger... pour eux. Ne négligez pas ce point, il est très important.

• Pour faire tout cela, je vous conseille des endroits calmes les abords du Canal Saint-Martin le dimanche (fermé aux voitures) ou encore la zone qui se trouve vers la Rotonde à Stalingrad. Vous pouvez aussi le faire dans votre rue, mais choisissez un endroit calme !


6 • TOUT ANTICIPER
C'est LE PLUS IMPORTANT. Si vous savez tout anticiper parfaitement, vous pourrez même rouler en pignon fixe sans frein (je ne vous le conseille pas cela dit).

Anticiper ça veut dire tout prévoir, tout le temps. La circulation à Paris est particulière. C'est l'anarchie. Et ça, tu le comprends à force de la pratiquer.

Voici une liste de choses auxquelles vous devez faire attention :

les piétons à Paris ne respectent rien. C'est un fait. C'est même très probable que vous soyez comme ça aussi. Ça traverse partout et surtout sans contrôler. C'est selon moi LE plus grand danger. Tous les jours, pas tous les deux jours, TOUS LES JOURS, je vois des piétons qui s'engagent sur une route et qui soit ne regardent pas, soit regardent du mauvais côté avant de traverser. Sachez que le code de la route stipule qu'ils sont toujours prioritaires. Même s'ils font n'importe quoi. Oui oui, vous avez bien lu. Même si ton feu est vert, tu DOIS le laisser passer sinon t'es en tort.

>>> La fois où j'ai failli tuer une vieille dame à vélo

les taxis et les VTC sont dangereux. Ils gagnent leur vie avec le nombre de course qu'ils font. Ils doivent aller vite. Ils sont toujours sous pression. Résultat, ça donne des comportements dangereux pour les autres. Parmi ce que j'ai observé il y a celui qui s'arrête au milieu de la route à une voie pour déposer son client, celui qui se gare sans mettre de clignotant pour prévenir, celui qui sort de son parking sans mettre de clignotant pour l'indiquer, celui qui va te coller au cul de façon agressive alors qu'il peut pas physiquement te dépasser parce qu'il y a pas la place ou encore celui qui va te frôler dans la voie pour bus.

restez loin des bus. Surtout de la droite des bus. Concrètement, ne tentez rien de dangereux quand vous êtes à proximité d'un bus. Si vous voulez doubler, soyez certain d'avoir le niveau pour. Ne passez jamais jamais jamais à droite des bus. Sauf si vous voulez vous faire écraser.

ne roulez pas près des voitures stationnées !!! Le risque c'est de se prendre une portière qui s'ouvre. J'ai vu quelqu'un s'en prendre une, c'est pas beau à voir. Je peux vous assurer que les automobilistes ne regardent pas avant d'ouvrir. C'est chiant mais c'est comme ça. Vous voyez à peu près la place que prend une portière ouverte ? Mettez CET écart entre vous et les voitures garées.

En résumé : partez toujours du principe que les autres vont faire n'importe quoi. À vrai dire c'est ce qui se passe la plupart du temps. Gardez ça en tête.

7 • Respectez le code de la route
Ça, c'est probablement le point que vous ne retiendrez pas. C'est pas mon genre d'être fataliste mais c'est ce que je constate. 9 cyclistes sur 10 ne respectent rien. Ça grille des feux dans tous les sens, ça grille des feux perpendiculaires, ça traverse des carrefours au rouge. Je n'en ai pas parlé précédemment mais ouais, les autres cyclistes font aussi partie du danger. Typiquement, quand mon feu est vert à un croisement perpendiculaire, je contrôle toujours car je sais, par expérience, qu'un vélo peut arriver sur le côté parce qu'il a grillé son feu. Soyez pas des relous putain.

8 • Prenez la place qui est la vôtre
Je pense que la plupart des cyclistes à Paris s'en foutent de ce point. Mais c'est un point très important quand on milite pour la pratique du vélo. Faire du vélo à Paris c'est se réapproprier un espace dominé par la voiture et les scooters. Donc, imposez-vous. Ne vous soumettez pas. Faites-vous respecter ! Vous pouvez croire que ça ne sert à rien, mais si tous les cyclistes le font, croyez-moi que ça va finir pas rentrer.

Une petite anecdote. J'attends le passage au vert d'un feu dans la piste cyclable. Là, y'a une gars en scooter qui arrive derrière moi et il me dit de bouger. Je lui réponds simplement qu'à la base il n'a rien à faire sur la piste cyclable. Je n'ai pas bougé.

Ça y est, vous pensez enfin vous lancer ? Pour commencer, n'hésitez pas à rouler avec la Paris Rando Vélo, c'est une fois par mois. Vous pourrez rouler en groupe à un rythme modéré !

Sinon, si vous voulez vous lancer doucement, sachez que pendant les vacances scolaires y'a moins de monde sur la route.

C'est marrant, en relisant l'article ça donne l'impression que c'est chaud de rouler à vélo à Paris. Bah à vrai dire ça l'est. Cependant, ça m'empêche pas de croiser tous les jours des gens aux apparences diverses et variées. Des jeunes, des vieux, des femmes et des hommes. À vrai dire là où je roule (Paris EST), je vois plus de femmes que d'hommes sur des vélos.

Pour finir je dirai ceci : chaque personne sur un vélo est la clé du changement. Ça commence par vous. En vous y mettant, vous montrerez à vos proches que c'est possible.

Vous commencez quand ?

À lire aussi :
5 autres conseils pour faire du vélo à Paris


dimanche 11 février 2018

Avis cinéma - Les Tuche 3



On prend les mêmes et on recommence ! Dans les Tuche 3, on retrouve toute la famille Tuche, le père, en tête. De retour des États-Unis, Jeff est devenu maire de Bouzolles. Son principal objectif est de faire passer le TGV dans son village. Alors qu'il pense avoir réussi, il constate, en même temps que les autres habitants, que le TGV passe bien par Bouzolles... mais qu'il ne s'arrête pas ! Vexé, il décide d'appeler le président de la République. Après avoir attendu que quelqu'un daigne lui répondre pendant des heures, il prend une décision : il va se présenter à l'élection présidentielle. Encore une fois, son unique objectif c'est que le TGV s'arrête à Bouzolles. C'est à partir de là que le film commence vraiment.



Avis 
J'ai bien rigolé et c'est le plus important quand on va voir une comédie ! J'ai moins ri que les autres personnes présentes dans la salle mais j'ai tout de même été réceptif à l'humour. En gros, celui qui me fait le plus marrer c'est Jeff Tuche. C'est clairement lui qui porte le film et la saga. En comparaison, les autres personnages sont un peu fades. J'ai particulièrement apprécié un jeu avec la langue française qu'il fait à plusieurs reprises. J'étais surpris parce que c'est aussi un truc que je fais donc ça m'a plus. C'est assez chiant à expliquer donc je ne vais pas le faire. Mais quand il le fait pour la première fois je me suis dit : « SOLIDE » !

En ce qui concerne l'histoire elle n'est pas folle. C'est la moins intéressante des trois épisodes des Tuche. C'est assez plat. Il n'y a aucun vrai rebondissement. C'est sûrement voulu hein. Mais c'est frustrant quand Olivier Baroux a déjà prouvé par le passé qu'il sait écrire de vraies histoires. Cela dit, je préfère un film où on rigole bien avec une histoire flinguée que l'inverse.

Je ne pense pas qu'il y en aura d'autres d'ailleurs, on sent que la franchise Tuche touche à sa fin !

À lire aussi :
Avis cinéma - Les Tuche 2

jeudi 8 février 2018

Avis cinéma - Les Tuche 2, le rêve américain


J'étais complètement passé à côté du premier volet des Tuche. C'est en voyant des gens sur Facebook s'appeler comme ça que ça intrigué m'a curiosité. J'ai donc regardé le premier. J'ai passé un bon moment. J'ai rigolé même. Et puis avec toute la promotion autour des Tuche 3, sorti le 31 janvier 2018, je me suis rendu compte que je n'avais pas vu le deux. J'ai donc corrigé cela.

De quoi ça parle ? 
La famille Tuche part rendre visite à Donald, le fils de la famille, parti aux États-Unis d'Amérique pour perfectionner son anglais.

Avis
Quand on regarde Les Tuche on sait exactement à quoi s'attendre. Des situations cocasses en pagaille, de l'accent ch'ti et de la beauferie totale. C'est ce mélange qui fait le succès de cette comédie. 4,7 millions de tickets ont été vendus lors de sa sortie dans les cinémas français. C'est une très belle performance ! Et à mon avis c'est mérité.

À part un passage creux vers les trois-quarts du film, je ne me suis pas ennuyé. Les blagues sont simples et efficaces. Celle que j'ai retenue, c'est le monologue de Jeff Tuche quand il perd ses quinze cartes de crédit.

« Tu peux perdre une carte mais pas quinze. »
Le côté voyage sur la route était également plaisant avec des péripéties classiques comme le véhicule qui tombe en panne.

Comme pour le premier, le socle des Tuche c'est la famille. C'est vraiment LE gros message de cette saga. La famille passe avant le reste.

J'ai particulièrement apprécié la fin du film et je vais vous la raconte. Attention, je vais révéler une partie de l'intrigue. Même si bon, les Tuche c'est pas un film à suspense.

Wilfried Tuche c'est lui. Il est stupide. C'est un benêt. C'est largement le plus idiot de toute la famille. Son rêve c'est de percer dans le rap. Mais il est flingué.


Voilà, c'est à peu prêt tout ce qu'on sait de lui. Ce n'est pas un personnage important. Cependant, dans les Tuche 2, il a eu le droit au passage le plus surprenant dans une comédie grand public comme celle-ci.

Il rencontre Juan, le jardinier de la famille. Rapidement, on comprend ce qui va se passer.


 Cependant, encore une fois, je ne m'attends pas à voir une relation homosexuelle dans un film comme ça. Le temps passe et une autre scène continue à nourrir leur rapprochement.


À partir de là, même si tous les indices classiques portent à croire qu'ils vont se mettre en couple, je ne m'y attends pas vraiment. J'imagine qu'ils vont sortir une blague à la Arthur et compagnie.

Et finalement, alors que je pensais que le film touchait à sa fin suite à un dénouement attendu entre Jeff et sa femme, il annonce à ses parents qu'il veut se marier, à Las Vegas, avec Juan.


C'est là que ça devient intéressant.

Cathy Tuche se réjouit, comme le reste de la famille. Par contre, Jeff s'évanouit.


De retour à l'hôtel, Jeff est hostile à cette union. Cathy n'insiste pas mais lui donne quand même l'adresse et s'en va en direction du mariage.


Jeff part prendre une bière pour réfléchir à tout cela. Et il divague en ayant l'impression de parler à Charles Ingalls. Le personnage de La petite maison dans la prairie lui dit, en gros, que le plus important c'est que Willfried soit heureux. Et que si Jeff veut son bonheur, il doit lui apporter son soutien.


Il arrive donc en catastrophe à la cérémonie.


Et il emmène son fils jusqu'à l'autel. 


Voilà, ça se termine comme ça.

Cette histoire m'a marqué car n'est pas un sujet qui va de soi dans les films grand public. J'ai trouvé le traitement particulièrement chouette. Ça ne m'a pas semblé cliché. Et surtout, surtout, le message distillé simplement c'est que l'homosexualité c'est rien de grave tant que ses enfants sont heureux. C'est une évidence pour les personnes sensibilisées à ça. Pour les gens qui savent ce que veut dire LGBT, qui ont vu 120 battements par minute ou encore qui savent qui est Harvey Milk. Mais de ce que je vois (et c'est une observation, pas un fait), ce sont des personnes qui n'ont rien à voir avec une audience populaire comme les plus de 4 millions de personnes qui ont payé pour les Tuche 2. C'est bien de faire des tweets, des articles mais même assemblés bout à bout, ils touchent BEAUCOUP moins de personnes que l'histoire ci-dessus. Ça peut être frustrant mais c'est comme ça. C'est pour ça que j'ai trouvé ce moment chouette. Surtout qu'il n'apporte rien à l'histoire et que les scénaristes auraient pu facilement mettre une meuf à la place de Juan. Il s'agit donc bien d'un choix.

La bande-annonce :



À lire aussi :
Avis cinéma - Réalité du Quentin Dupieux