dimanche 22 mars 2015

Avis cinéma - Les gardiens de la galaxie, Soul Kitchen, Nightcall, Breaking Away

Soul Kitchen (2009)



Je cherchais des films pour entendre parler l'allemand que je suis en train d'apprendre. Je suis tombé là-dessus. J'ai attendu très longtemps avant de le regarder, faute de temps. Et puis ce samedi 14 mars, mon pote Baptiste me dit que le film a été tourné à Hamburg. Je l'ai regardé dans les jours qui ont suivi. Sur la forme, il n'y a rien de fou. Sur le fond non plus. C'est loufoque, à l'image du personne principal qui est un galérien. Il perd sa copine, il se casse le dos, il a des embrouilles, un frère qui sort de prison. Et à sa façon, il tente de s'en sortir. C'est pas le meilleur film que j'ai vu mais j'ai aimé parce qu'on voit Hamburg ; et c'est drôle aussi.

Le métro <3

 

Ce moment où il est à fond derrière ses platines et qu'il lève les yeux...



Ce moment gênant...



Et puis ce DJ qui se fait tabasser et ne sent plus ses jambes.



Breaking Away (1979)

J'aime le vélo car il est synonyme de liberté. Je vous en parle dans cet article publié sur le site de Télé-Loisirs : La bicyclette bleue, E.T., Juno... le vélo comme symbole de liberté dans la ficiton ; et aussi dans ma critique du livre de Marc Augé : Eloge de la bicyclette. Un jour, je suis tombé sur cet article de Fluoglacial qui m'a donné envie de voir Breaking Away parce que ça parlait de vélo. Déçu, je n'ai pas été. Les deux-roues sont omniprésents pour mon plus grand bonheur. C'est un film très positif qui a, si j'en crois ce qu'on peut trouver sur internet, été une grande source d'inspiration pour les jeunes après sa sortie. Pourquoi ? Parce que le héros est fan de vélo. Son père ne voit pas ça d'un bon œil. Son rêve c'est de faire une course aux côtés de ses idoles italiennes. Ça arrive. Les mecs sont des putes. Il est dégoûté. Et puis il s'accroche à sa passion et puis vous pouvez deviner la fin. La résilience c'est la vie.



Les gardiens de la galaxie (2014)
J'ai suivi l'engouement autour de film de loin. J'ai vu qu'il a fait un carton et que Chris Pratt était devenu d'un coup d'un seul un mec jugé comme "sexy". Je n'ai pas compris. Pour moi, Chris Pratt c'est Andy de Parks & Recreation. Le gars stupide mais attachant. Et puis là qu'est-ce que je vois ? Il s'est transformé en super-héros. J'ai attendu de longs mois avant de daigner regarder ce film. Et, si j'ai été loin de m'ennuyer, je n'ai pas compris pourquoi ça a fait un tel ramdam. Peut-être la présence du raton laveur ? Ca marche toujours auprès des enfants.



Nightcall (2014)
Pfiou. A l'époque de sa sortie, les murs du métro étaient recouverts par l'affiche de Nightcall. Et à chaque fois que je la voyais je pensais à Drive. Comme beaucoup, je pense. Et puis j'ai commencé à voir fleurir les premiers commentaires, j'ai été intrigué, puis j'ai oublié et finalement j'y ai jeté un oeil et je n'ai pas été déçu du tout. Ce film raconte l'histoire d'un mec paumé qui découvre qu'il peut se faire de l'argent en filmant des faits divers bien dégueulasses comme il faut. Au début, il est assez sage, il reste derrière les cordons de policiers et puis... il part en sucette. Et ça commence par le déplacement d'un corps pour que ça rende mieux à l'image. Ça donne vraiment envie de vomir et du coup c'est réussi. On ne sort pas indemne de ce film.


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