1• Pour Steve Carell aka Michael Scott
Steve Carell est le personnage principal de la série. Si vous ne le connaissez pas il s'agit juste d'un des comédiens les plus drôles des USA. Vous pouvez le retrouver dans ''40 ans, toujours puceau'', ''Dinner For Schmucks'' (le remake du Dîner de Cons) ou encore dans Crazy Night. Il incarne Michael Scott, le manager d'une filiale de Dunder Mifflin Paper Company située dans la ville de Scranton en Pennsylvanie.
Michael est a priori un personnage stupide et détestable. Ce qu'on pourrait considérer comme du racisme envers les minorités présentes dans The Office n'est en réalité que de la simple stupidité. Vous aurez l'occasion de vous en rendre compte lorsqu'il s'en prendra à Kelly l'indenne, Oscar l'homosexuel mexicain sans parler de toutes ses attaques envers les quelques obèses du casting. Michael ne respecte pas vraiment les conventions, il agit souvent de manière inappropriée. Il ne prend que rarement en compte les notions de ''respect'' envers ses employés, cependant au fil des saisons le personnage dévoile d'autres facettes aux antipodes de celles citées juste avant.
2• Pour l'histoire d'amour principale (petit spoil)
Étant adepte des belles histoires d'amour, cette histoire est une des raisons pour lesquelles j'ai déjà regardé à cinq reprises l'ensemble des saisons de The Office. Elle est habilement écrite et vraiment réaliste. L'avantage d'une série comparée à un film, c'est que les scénaristes ont le temps de développer chaque personnage et chaque histoire. Je vais éviter d'en dire d'avantage ne voulant pas vous spoiler d'avantage.
3• Pour le générique
Si vous êtes adeptes de séries vous aurez remarqué que le générique est un élément important. Parmi les plus réussis je citerai celui de la série anglaise Misfits et celui de The Big Bang Theory, dans la catégorie de ceux qu'on zappe plus facilement je pense immédiatement à celui d'Entourage, qui est long et pénible. Celui de The Office, c'est trente secondes de piano qui restent en tête au bout de quelques épisodes. Et la particularité qui fait sa force c'est qu'au fil des saisons il évolue selon les péripéties contrairement à celui de How I Met Your Mother qui n'évolue pas.
4• Pour les pré-génériques
Encore une fois il n'y en a pas dans toutes les séries mais selon moi il s'agit d'un plus. Le pré-générique c'est la séquence située juste avant le générique (logique). En général, ils se constituent d'une scène relativement rapide de type humoristique. La série HIMYM en est dotée, mais ses pré-génériques sont souvent de piètre qualité. Je leur préfère ceux de The Office qui sont toujours désopilants. Sur 7 saisons (la 8ème n'étant pas terminée), il ne doit y en avoir que 2 ou 3 qui ne sont pas réussis, tous les autres sont parfaits. Regardez celui-ci pour vous en convaincre.
5• Pour la richesse du scénario
Je m'excuse de prendre toujours en exemple How I Met Your Mother, mais je trouve que c'est un bon exemple de comparaison. Dans HIMYM, le peu de personnages n'offre pas la possibilité de créer beaucoup de diversité dans le scénario. Mis à part Marshall et Lily qui sont un couple solide et une fois que Robin est sortie avec Barney et Ted il n'y a que les aventures très répétitives de Barney pour intéresser le spectateur. L'avantage avec The Office c'est qu'il y a un personnage principal (Michael Scott) et près de 14 personnages secondaires dont certaines additions au casting au fil des saisons. Autant d'éléments permettant d'enrichir le scénario.
6• Pour les ''That's what she said''
''That's what she said en français ça signifie ''C'est ce qu'elle a dit''. C'est une expression souvent utilisée par Michael Scott au fil des saisons et à chaque fois c'est très drôle. Juste histoire de vous donner en exemple en français :
''Ça a du mal à renter.'' => That's what she said.
''Ça fait un peu mal mais ça reste supportable'' => That's what she said.
Comme vous pouvez le remarquer, le That's what she said a une connotation sexuelle.
7• Pour Creed Bratton
Creed Bratton est selon moi le personnage le plus fou / bizarre / drôle / mystérieux, toutes séries confondues. Il dit une phrase par épisode mais à chaque fois c'est une punchline.
En espérant que ces quelques points pourront vous convaincre d'au moins regarder la première saison qui n'est composée que de six épisodes.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire