Si c'est la première fois que vous tombez sur mon carnet de bord sachez que je m'entraîne pour participer à un critérium de pignon fixe. Dans cet article je vous explique mon objectif précis.
Comme convenu, voici la suite de l'évolution de mon entraînement.
Dans la montée de Ménilmontant |
Voici donc l'évolution de mon temps sur 25km.
Tout au long de ces semaines d'entraînement j'ai appris l'utilité de sucer une roue, comme on dit dans le cyclisme. Quand on voit ça à la télé c'est difficile à comprendre. Quand on l'expérimente, on comprend tout de suite l'utilité de cette technique. S'abriter derrière un autre coureur permet d'économiser ses forces. Concrètement pour la même puissance dégagée vous irez plus vite si vous êtes à l'abri derrière quelqu'un que si vous êtes exposé. C'est d'ailleurs en roulant avec une autre personne que j'ai réalisé mon record sur 25km le 17 décembre 2016.
Ce dimanche 15 janvier 2017, j'ai roulé seul la plupart du temps et sur 2 tours, j'ai effectué des relais avec une autre personne. En roulant moins longtemps à l'abri que le moment où j'ai établi mon record, j'avais donc seulement 8 secondes de retard à l'arrivée.
Le truc quand on se met à l'abri c'est de bien tenir la roue. Ça peut être une pratique dangereuse car je mets ma roue avant à moins de 20 centimètres de la roue arrière de la personne devant moi. Il faut faire une confiance aveugle à la personne qui mène, donc. Un coup de frein et c'est la cata!
Outre la vitesse et le temps, même si c'est très important, ce qui m'importe dans cet exercice c'est d'entraîner mon coeur à soutenir un effort dans la zone 4 (le seuil) pendant environ 1h. Cela dit, si je pouvais passer sous les 50 minutes d'ici le 1er mars 2017 ça serait chouette.
L'entraînement continue. Retrouvez tous les articles d'Objectif critérium de pignon fixe sur l'étiquette dédiée.
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